1 Dans ce rapport, les termes « secteur informel des déchets » et « récupérateurs de déchets » font référence à un groupe de travailleurs du secteur informel qui collectent, trient, rassemblent et valorisent les matériaux recyclables des flux de déchets post-consommation. Par le passé, ce groupe a porté plusieurs noms interchangeables, y compris ceux que nous utilisons ici, ainsi que « travailleurs des secteurs informels et coopératifs » (selon le mandat défini par le Traité de l’Assemblée des Nations Unies pour l’environnement concernant les plastiques – voir Doc ONU UNEP EA.5/Rés.14).
2 Les collaborateurs du projet ont conscience du fait que ces principes découlent d’un processus axé sur les chaînes de valeur du recyclage des emballages plastiques, mais ils sont susceptibles de s’appliquer également à d’autres matériaux recyclables.
3 Les UNGP s’appliquent à tous les « droits de l’homme internationalement reconnus », c’est-à-dire ceux mentionnés dans la Charte internationale des droits de l’homme (à savoir la Déclaration universelle des droits de l’homme et les deux pactes internationaux qui la codifient), ainsi qu’aux principes relatifs aux droits fondamentaux des huit conventions fondamentales de l’OIT, tels que définis dans la Déclaration de l’OIT relative aux principes et droits fondamentaux au travail.
4 Cette liste est présentée à titre d’exemple et non comme une liste de cas de préjudices spécifiques ; une évaluation plus approfondie serait nécessaire pour déterminer la situation dans des chaînes de valeur d’entreprises spécifiques.
5 Un revenu de subsistance est le corollaire d’un salaire minimum vital pour les travailleurs indépendants. Les récupérateurs de déchets sont parfois organisés en coopératives ou en associations, mais ils ne sont pas des employés officiels.
6 Ces prix dépendent généralement des prix actuels du marché et de la qualité des matériaux.